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bienvenue sur mon blog accueil a propos kin kiey mulumba:inspirateur du discours haineux de kyungu 22 07 2011 la sordide propagande de kin-kiey à la goebbels «les tirs perdus ne pas sont perdus pour tout le monde! «les tirs perdus ne pas sont perdus pour tout le monde! on le sait depuis mobutu. . voilà ce que kin-kiey mulumba écrit, dans «le soft international» n°1111 du mercredi 6 juillet, sous son pseudonyme bien connu de t. matotu, pour justifier la mort d’un «combattant» de l’udps lors d’une manifestation devant le siège de la ceni -commission électorale nationale indépendante. effectivement, les tirs perdus sont pour les enfants des autres, ceux qui n’ont droit à rien dans leur propre pays, même pas le droit à une enquête pour déterminer les responsabilités sur les circonstances qui ont fait que la police décide de tirer à balles réelles sur des manifestants. certains y opposeront les coktails molotov qui ont été récupérés chez les manifestants. qu’importe ! cela ne justifie pas une mort d’homme et n’exhonère pas l’arme qui a donné la mort d’expliquer si la menace était si grave pour passer à la réplique extrême. c’est ça la règle en démocratie. c’est ça la règle en belgique ou kin-kiey garde ses enfants depuis mobutu avec l’assurance qu’il ne leur arrive rien dans un etat de droit. une règle superbement ignorée en rd-congo. ignorée même lorsque sept détenus meurent, en 2009, par étouffement, par une nuit chaude, dans le cachot du camp lufungula. ignorée, ignorée, ignorée pour dire combien la vie du commun des congolais est banalisée depuis le régime mobutu, là où d’autres nations sont prêtes à faire décoller des avions de chasse et des hélicoptères de combat pour aller exfiltrer un seul compatriote en péril dans un coin le plus reculé de la terre. gain sans conviction regardez l’exemple de la france qui s’est mobilisée toute entière pour stéphane taponier et hervé guesquière. chez nous, quand des compatriotes sont pourchassés en angola jusqu’à aller se noyer, il n’y a presque personne à kinshasa pour donner de la voix. ça c’est aussi une forme de la mac- cabre théorie de kin-kiey, ce joseph paul goebbels -le funeste théoricien du nazisme- à la congolaise prêt à tout justifier pourvu que cela lui permette d’entretenir sa petite vie bourgeoise empruntée (voir archives fpi -fond de promotion de l’industrie- pour une affaire d’un prêt de plus 150.000 dollars échu). par le passé, le patron du «soft» a même justifié la pendaison du leader des ogoni, au nigeria, une pendaison condamnée pourtant de par le monde entier. s’il le nie, il n’y aura qu’à aller chercher dans les archives de son journal de l’époque. le légendaire dythirambiste kin-kiey a également justifié les excès du régime mobutu, parlant même de la légitimité de déployer des chars pour défendre la démocratie contre des manifestants de l’udps désarmés. tout ce qu’il y a de plus de sordide, une propagande motivée rien que par le gain, le profit personnel sans aucune conviction au fond. toujours est-il que le jour où la situation s’est retournée, le propagandiste s’est enfui comme un lapin. un certain 17 mai 1997, kin-kiey a dû être tiré de son lit, à cinq heures du matin, par un de ses journalistes, le défunt kilolo ngwalumuna, qui avait passé la nuit à la rédaction, attenante à la résidence du patron, avec d’autres après avoir bouclé le journal la veille. le dernier ministre de l’information de mobutu avait été pris de court par l’entrée de l’afdl dans la ville de kinshasa pendant que les autres dignitaires avaient déjà décampé. qu’il se rappelle qu’il abandonna toutes ses grosses cylindrées et ses gardes du corps pour se faire escoter par ses journalistes à bord d’une très modeste mazda 818 de son ancien collaborateur raphaël kidimbu mpese. qu’il se souvienne de tous les détails pour comprendre combien il s’est senti fragile ce jour là, tremblontant comme une feuille. ces détails -de la traversée du fleuve jusqu’aux errements à goma dans les rangs du rcd et à kigali prétendument dans la cour de paul kagame- sont lui à épargner aujourd’hui pour mieux les mettre en perspective demain si cela s’avère nécessaire. plaise à kin-kiey de considérer que «congonews» n’approuve pas la violence. celle qui a été mise sur le compte des manifestants de l’udps est condamnable tout autant que la proverbiale gâchette facile de la police congolaise. h.m. mukebayi nkoso http://www.7sur7.cd/index.php?option=com_content&view=article&id=22244%3ala-sordide-propagande-de-kin-kiey-a-la-goebbels-&catid=6%3acongonews&lang=fr de mémoire d’hommes il y a 9 ans, tryphon kin-kiey mulumba co-enterrait quinze femmes congolaises vivantes ! cette année, c’est le 9e anniversaire des viols et des violences sexuelles contre les femmes de mwenga (1999-2008) comme nous le rappelle de dr shungu tundanonga ! des femmes congolaises de cette localité, située dans le sud kivu, aux confins du parc de kahuzi-biega, furent violées en public, lynchées et enterrées vivantes. le vendredi 3 octobre 2008 tryphon kin-kiey mulumba du passage éphémère au ministère de l’information puis dans la « rébellion ». en tant que dernier porte-parole du gouvernement de mobutu, kin kiey était chargé de rédiger des communiqués soporifiques censés entretenir la bonne image d’un maréchal mourant, lâché par tous ses protecteurs occidentaux. il passait ainsi de son rôle de conseiller occulte à celui de dernier porte voix officiel de la mouvance présidentielle ( f.d.u.). nous avons le souvenir pathétique du dernier compte rendu d’un conseil de ministres, lu à la radio (ozrt) par un kin kiey sans conviction pendant que mobutu lui-même avait déjà quitté kinshasa. puis vint l’heure de l’exil pour le dernier carré de tous les mobutistes, et kin kiey quitta également le pays pour intégrer plu tard la rébellion militaire du rcd, il en fut même l’une des grandes figures à une époque. devenu conseiller spécial de kagame chargé des affaires congolaises, il installe les bureaux de son journal le soft à kigali. comme ludo martens, l’écrivain belge nous rappelle dans son article du 7 mars 2000, intitulé « caches d’armes et mutinerie à bukavu, danger d’une troisième guerre au congo » , kin-kiey mulumba se fait le porte-parole des capitaux américains et rwandais qui veulent « faire éclater les frontières » pour que « le monde devienne un vaste marché pour quiconque sait vendre et sait acheter »… voici comment ce digne mobutiste-kagamiste s’est exprimé le 26 février 2004 : « a bukavu, le gouverneur rcd chiribanya chirimwami est brutalement limogé par le gouvernement dont l’ex-mouvement rebelle étatisé est partie prenante sans qu’il ne cherche à broncher. la crise qui couvait depuis juin 2003, a atteint sa phase terminale. hutu et tutsi, tous banyarwanda, tous frères et sœurs, ennemis jurés hier jusqu’à s’entre-tuer massivement, ont enterré machettes et lances, et fait chorus. ensemble, ils vont défendre leurs terres, en premier, leur gouverneur hutu eugène serufuli ngayabaseka. la question n’est plus l’entrée en ébullition, la question est de savoir quand. à l’heure où les frontières éclatent, où le monde devient vaste marché pour quiconque sait vendre et sait acheter, il n’y a que dans l’ex-zaïre où, faute de leadership, l’habitant n’a rien compris. le kivu lui veut vivre, se produire et se reproduire. il se tente et se laisse tenter par une culture moderne, loin des incuries et qui marche. qui lui en fera le reproche ? » (tryphon kin-kiey mulumba, le soft, 26 février, n° 782 ; lesoftonline. net 04/03/2004). « kin-kiey mulumba, comme tshisekedi et katebe katoto, est parmi les politiciens qui jouent à fond la carte des américains et de leur libéralisme outrancier qui fait sauter les frontières. kagame possède une armée puissante qui s’insère délibérément dans la stratégie politico-militaire des etats-unis pour la domination du continent. son armée est très présente au kivu où elle se fait passer comme faisant partie des rwandophones congolais… cette présence p